Le Club, avec Béatrice Picard, éditrice à la Snic et adhérente, a lancé en mai 2020 une enquête auprès des médias et des communicants normands pour savoir comment ils se sont adaptés au confinement.

213 personnes travaillant en agence de com’ ou dans un service com’ ou marketing en Normandie, ainsi que 137 journalistes ou responsables de presse normands, ont répondu à une quinzaine de questions traitant de l’expérience liée au confinement. Vous trouverez ci-après leurs réponses. 

Vous pouvez également découvrir les réponses aux quatre questions ouvertes qui étaient posées : points négatifs, points positifs, réflexions sur cette période de confinement, attente vis-à-vis des pouvoirs publics, en cliquant sur les liens ci-après. Nombreux sont les journalistes et communicants ayant répondu à ces différentes questions.

Et n’oubliez pas de cliquer sur les onglets ci-dessous pour passer des réponses des médias à celles des communicants, et inversement. 


Note méthodologique

L’enquête « Confinement 2020 » auprès des communicants normands a été réalisée en ligne, en mai 2020, par Béatrice Picard (SNIC – EcoNormandie) pour le Club de la Presse et de la Communication de Normandie. Romain Forfait, étudiant en alternance, a participé aux différentes étapes de l’enquête et réalisé les infographies avec le service en ligne infogram.

Environ 1 300 communicants normands (entreprises de com. ou services com. d’employeurs publics ou privés) ont reçu par mail une invitation à répondre à l’enquête.
Le 1er envoi a affiché un taux d’ouverture de 35% et un taux de clic de 13%, les deux rappels ont été ouverts par plus de 20% des destinataires. Des appels à répondre à l’enquête ont également été insérés dans les numéros de mai de la newsletter du Club et sur LinkedIn.
213 réponses (dont 55% d’adhérents du Club et 45% de non adhérents) ont pu être traitées, soit un taux de réponse de 17 %, qui est un premier enseignement : ce sujet les concerne !

L’échantillon n’étant pas un échantillon représentatif, on ne peut pas extrapoler les résultats pour l’ensemble de la population des communicants normands. Cependant le nombre de réponses est suffisant pour donner une tendance.

Notons enfin qu’il s’agit d’une enquête auprès des communicants (et non auprès de leurs établissements), qui répondaient à titre personnel. Ainsi, lorsqu’un tiers des répondants affirme que leur employeur ou leur agence est en capacité de rebondir, cela ne veut pas dire qu’un tiers des entreprises de com’ est dans ce cas. Plusieurs personnes d’une même entreprise, d’un même établissement ou d’une même collectivité ont pu répondre.


Note méthodologique

L’enquête « Confinement 2020 » auprès des médias normands a été réalisée en ligne, en mai 2020, par Béatrice Picard (SNIC – EcoNormandie) pour le Club de la Presse et de la Communication de Normandie. Romain Forfait, étudiant en alternance, a participé aux différentes étapes de l’enquête et réalisé les infographies avec le service en ligne infogram.

Un peu plus de 1 000 destinataires (journalistes et directeurs de publication) ont reçu par mail une invitation à répondre à l’enquête.
Le 1er envoi a affiché un taux d’ouverture de 38% et un taux de clic de 11%, les deux rappels ont été ouverts par plus de 32% des destinataires. Des appels à répondre à l’enquête ont également été insérés dans les numéros de mai de la newsletter du Club et sur LinkedIn.
137 réponses (dont 30% d’adhérents du Club et 70% de non adhérents) ont pu être traitées, soit un taux de réponse de 13 %, qui est un premier enseignement : ce sujet les concerne !

L’échantillon n’étant pas un échantillon représentatif, on ne peut pas extrapoler les résultats pour l’ensemble de la population des journalistes normands. Cependant le nombre de réponses est suffisant pour donner une tendance.

Notons enfin qu’il s’agit d’une enquête auprès des journalistes et directeurs de publication, qui répondaient à titre personnel. Ainsi, lorsqu’un tiers des répondants affirme que son média est en grande difficulté, cela ne veut pas dire qu’un tiers des médias est dans ce cas. Certaines rédactions (Paris Normandie, France 3, Ouest-France, Radio-France…) comptent plusieurs dizaines de journalistes, qui avaient tous la possibilité de répondre.